Quand l’âme vole entre nadir et zénith sans répit, tel un yoyo…
Alors… Mieux vaut que la ficelle casse !
En do majeur, avec un accompagnement de cor anglais, cor, piano, contrebasse et dulcimer.
Le motif mélodique, en mouvements conjoints, est très facile à interpréter.
Toute l’attention doit porter sur l’expression pour faire « vivre » la mélodie malgré sa simplicité.
Composition Gilles Patrat.