On doit à Fanica Luca la renaissance de la pratique de la flûte de Pan en Roumanie. On a pu entendre ce lautari [1] jouer sur toutes les grandes scènes du monde, puis il a ouvert une classe de naï à Bucarest où il eut Gheorges Zamfir et Simion Stanciu [2] comme élèves.
La qualité de l’enregistrement est médiocre, repris d’un vieux 78 tours « nettoyé »… Mais cette pièce illustre bien l’usage traditionnel du naï durant la première partie du XXe siècle en roumanie.